TO THE MASTER OF THE “METEOR
”
Lonseome on earth’s loneliest deep,
Sailor! who dost thy vigil keep—
Off the Cape of Storms dost musing sweep
Over monstrous waves that curl and comb;
Of thee we think when here from brink
We blow the mead in bubbling foam.
Of thee we think, in a ring we link;
To the shearer of ocean’s fleece we drink,
And theMeteor rolling hom
AU MAITRE DU METEORE
Seul sur l’océan le plus solitaire
Marin, qui veilles à ton poste –
Au cap des Tempêtes , tu files songeur
Sur le flot monstrueux qui s’enroule et déferle,
A toi nous pensons, depuis nos hautes rives,
Lorsque jusqu’à l’écume nous bouillons l’hydromel.
A toi nous pensons, en cercle réunis,
Et buvons au tondeur de la toison marine
Ainsi qu’au Météore.qui revient au pays
Herman Melville
Pratiquement oublié de tous à sa mort, Melville est redécouvert dans les années 1920 à travers son œuvre maîtresse Moby-Dick. Il est désormais considéré comme l'une des plus grandes figures de la littérature américaine.