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				Mon amante
			 
 
 Mon amante
 
 
 
 
 « Écoutez la chanson bien douce / qui ne pleure
 Que pour plaire. / Elle est discrète, elle est légère :
 Un frisson d’eau sur de la mousse ! »
 Paul Verlaine.
 
 
 
 
 
 
 Les testaments de l’amour
 Le bruissement des premiers pas sur terre,
 Le rugissement des torrents
 Et le premier sens de la vie, mon amante.
 
 Un corps d’écume se prolonge dans mes songes
 Un crépuscule, au temple de joie
 Une blessure éternelle… Mon amante.
 
 L’énigme de tous les temps, et l’aurore m’éblouissant
 La tempête, le vent débridé… mon amante.
 
 Une fontaine de volupté, pour péché
 Contre la symphonie absurde de la mort… mon amante.
 
 Le coup de poignard, d’une corde de potence
 Ambiguïté qui s’enroule autour de mon cou.
 Aussi cruelle qu’assassine…Ô mon amante.
 نور الأدب (تعليقات الفيسبوك)
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